Bruno nous a entraîné sur des études de cas où nous devions gérer une situation en équipe de trois sauveteurs : analyser la situation, transmettre un premier bilan circonstanciel, faire un bilan vital en attendant des secours supplémentaires. Toute l’originalité des scènettes qu’il nous a proposées était dans l’enchaînement des problèmes : il y avait chaque fois plusieurs choses différentes à gérer.
Cas numéro 1 : l’équipe est alertée car un témoin a vu une femme en pleurs alors qu’elle amarrait son bateau.
Cas numéro 2 : une agression à bord, avec hémorragie, le blessé est à prendre en charge, mais l’agresseur aussi !
Cas numéro 3 : un marin blessé par un objet coupant, pris en charge alors qu’une odeur de gaz est suspectée !
Ce programme d’entraînement a intégré la gestion de la détresse psychologique, qui est maintenant au programme du PSE1. En effet, au même titre que les détresses vitales, l’évaluation de l’impact psychologique fait partie intégrante du bilan secouriste. Lorsque la victime manifeste des signes de détresse psychologique et que ces derniers ne sont pas pris en compte, cela risque de parasiter ou complexifier le travail des secouristes : manifestations émotionnelles difficiles à contenir, victime non coopérante, opposante ou agressive… c’est ce que nous avons pu vérifier sur cet entraînement !
Durée : 2 heures.
Étaient présents : Bruno – Delphine – Alexandre – Manu – Jonathan – Dédé – Christophe – Florant.